Étude de situations langagières favorisant l'intercompréhension chez un élève non francophone en Petite Section

L’inclusion des élèves non francophones à l’école implique l’apprentissage d’une nouvelle langue, la langue française. Il s’agit de la langue de scolarisation qui constitue aussi bien un outil de communication, de socialisation qu’un objet d’enseignement. De plus, la langue française est le vecteur...

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Auteur principal : Morineau Jeanne (Auteur)
Collectivités auteurs : Université de Nantes 1962-2021 (Organisme de soutenance), Institut national supérieur du professorat et de l'éducation de l'Académie de Nantes (Organisme de soutenance)
Autres auteurs : François Dora (Directeur de thèse)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Étude de situations langagières favorisant l'intercompréhension chez un élève non francophone en Petite Section / Jeanne Morineau; sous la direction de Mme Dora François
Publié : 2016
Accès en ligne : Accès Nantes Université
Note de thèse : Mémoire de Master Métiers de l'enseignement, de l'éducation et de la formation (MEEF) : Enseignement premier degré : Nantes : 2016
Disponibilité : L'accès au document est réservé aux membres de l'Université de Nantes
Sujets :
Description
Résumé : L’inclusion des élèves non francophones à l’école implique l’apprentissage d’une nouvelle langue, la langue française. Il s’agit de la langue de scolarisation qui constitue aussi bien un outil de communication, de socialisation qu’un objet d’enseignement. De plus, la langue française est le vecteur des apprentissages. La maîtrise de la langue est donc un enjeu essentiel de l’École, surtout en ce qui concerne les élèves non francophones, pour garantir la réussite de tous et de chacun. Afin de pallier les inégalités, l’école maternelle a défini la maîtrise du langage oral comme une des ses priorités. Or, les recherches ont prouvé que le langage oral se construit, en grande partie, en lien avec les interactions. Le rôle de l’école est donc de permettre à chaque élève de participer aux échanges verbaux de la classe. Néanmoins, pour être capable d’échanger, il faut pouvoir comprendre. Ainsi, comment permettre à l’élève non francophone de comprendre et de se faire comprendre malgré la barrière de la langue? Cette recherche se propose donc d’étudier les diverses manifestations verbales et non verbales d’un élève non francophone de Petite Section dans différentes situations langagières afin de déterminer lesquelles favorisent l’intercompréhension, permettant ainsi à cet élève de comprendre et de se faire comprendre, le plus aisément, au sein de la classe
Notes : Titre provenant de l'écran titre
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Bibliographie : Bibliogr. f. 66-67