Nantilus« On fait ce qu'on veut personne nous voit »
L’étanchéité des disciplines académiques françaises a retardé l’émergence de certains objets de recherche tels que l’homosexualité ou le genre. Si, à l’aube des années 2000, un nouvel objet de recherche semble se constituer autour de l’homosexualité, les femmes sont toutefois absentes dans ce débat...
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| Auteurs principaux : | , |
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| Collectivités auteurs : | , |
| Format : | Thèse ou mémoire |
| Langue : | français |
| Titre complet : | « On fait ce qu'on veut personne nous voit » / Elisa Champciaux; sous la direction de Thibaut Menoux |
| Publié : |
2021 |
| Description matérielle : | 1 vol. (112 p.) |
| Note de thèse : | Mémoire de Master 1 Terrains, Enquêtes et Théories : Sociologie : Nantes : 2021 |
| Sujets : |
| Résumé : | L’étanchéité des disciplines académiques françaises a retardé l’émergence de certains objets de recherche tels que l’homosexualité ou le genre. Si, à l’aube des années 2000, un nouvel objet de recherche semble se constituer autour de l’homosexualité, les femmes sont toutefois absentes dans ce débat scientifique. Les travaux sociologiques sur l’homosexualité sont proposés par des hommes et les populations enquêtées sont les homosexuels masculins. Or l’homosexualité masculine se distingue de l’homosexualité féminine en ce qu’elle ne dispose pas des mêmes statuts sociaux et le principal problème rencontré par les femmes est l’invisibilité lesbienne qui se constate tant du point de vue des pratiques que des représentations. La question de recherche posée par ce mémoire est donc la suivante : quelles sont les conditions et les effets de l’invisibilité lesbienne en contexte rural ? |
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| Bibliographie : | Bibliogr. p. 110-112 Annexes |