Gastrostomie percutanée endoscopique : indications et suivi à moyen terme

De 1996 à 2001, 210 patients consécutifs (sex-ratio 1, moyenne d'âge 60 ans) ont été adressés au CHU de Nantes pour une première pose de gastrostomie percutanée endoscopique (GPE). Ils étaient adressés par un Service Hospitalier dans 80% des cas (Neurologie 36%, Pneumologie 21%, Gastroentérolog...

Description complète

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Détails bibliographiques
Auteur principal : Noly-Botrel Florence (Auteur)
Collectivité auteur : Université de Nantes 1962-2021 (Organisme de soutenance)
Autres auteurs : Le Rhun Marc (Directeur de thèse)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Gastrostomie percutanée endoscopique : indications et suivi à moyen terme / Florence Noly; sous la dir. de Marc Le Rhun
Publié : [S.l.] : [s.n.] , 2003
Description matérielle : 62 f.
Note de thèse : Thèse d'exercice : Médecine. Médecine générale : Université de Nantes : 2003
Disponibilité : Publication autorisée par le jury
Sujets :
Documents associés : Reproduit comme: Gastrostomie percutanée endoscopique
Description
Résumé : De 1996 à 2001, 210 patients consécutifs (sex-ratio 1, moyenne d'âge 60 ans) ont été adressés au CHU de Nantes pour une première pose de gastrostomie percutanée endoscopique (GPE). Ils étaient adressés par un Service Hospitalier dans 80% des cas (Neurologie 36%, Pneumologie 21%, Gastroentérologie 15%). Les causes hautes représentaient 80% des indications (AVC 50% et Affections Neurologiques Evolutives 31%) et les causes locales 20% (Cancers oropharyngés 1/3, myopathie ou myasthénie 1/3). La GPE a été posée après simple anesthésie pharyngée dans plus de 90% des cas. Les difficultés locales étaient exceptionnelles. Trois décès ont été liés à la GPE (2 précoces, 1 à 5 mois). Les autres complications à court terme ( J30 : 2,4%) ont toutes été mineures. Un renouvellement a été nécessaire chez 83 patients (41%) (moyenne 2,8 changements, extrêmes :1-14). Ces changements étaient systématiques à un an (39%) ou liés à un vieillissement prématuré de la sonde (42%). Un retrait définitif de la GPE a été possible chez 16% des patients, justifiant ainsi rétrospectivement son utilité.
Bibliographie : Bibliogr. f. 58-62 [21 réf.]