Le Cimicifuga racemosa : une alternative au Traitement Hormonal Substitutif chez la femme ménopausée ?

La ménopause est une période caractérisée par de très faibles taux d'œstrogènes et de progestatifs engendrant différents troubles chez la femme. Le THS a longtemps été le traitement de référence utilisé pour pallier ces troubles ; son usage est de nos jours en régression du fait de ses effets i...

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Détails bibliographiques
Auteur principal : Dubreuil Sophie (Auteur)
Collectivité auteur : Nantes Université Pôle Santé UFR des Sciences Pharmaceutiques et Biologiques Nantes (Organisme de soutenance)
Autres auteurs : Grovel Olivier (Directeur de thèse)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Le Cimicifuga racemosa : une alternative au Traitement Hormonal Substitutif chez la femme ménopausée ? / Sophie Dubreuil; sous la dir. de Olivier Grovel
Publié : [S.l.] : [s.n.] , 2005
Description matérielle : 142 f.
Note de thèse : Thèse d'exercice : Pharmacie : Université de Nantes : 2005
Disponibilité : Publication autorisée par le jury
Sujets :
Documents associés : Reproduit comme: Le Cimicifuga racemosa
Description
Résumé : La ménopause est une période caractérisée par de très faibles taux d'œstrogènes et de progestatifs engendrant différents troubles chez la femme. Le THS a longtemps été le traitement de référence utilisé pour pallier ces troubles ; son usage est de nos jours en régression du fait de ses effets indésirables, notamment l'augmentation du risque de cancer du sein. D'autres traitements peuvent également être utilisés, tels que les SERM et les SAS, mais aucun ne s'avère idéal, que ce soit en terme d'efficacité ou de sécurité. L'alternative de la phytothérapie est de plus en plus appréciée par les femmes, et le Cimicifuga racemosa voit son utilisation augmenter outre-Atlantique et en Allemagne. Si son efficacité a été démontrée par les études cliniques réalisées, son mécanisme d'action est encore très mal connu. La plante pourrait agir sur certains récepteurs œstrogéniques à la manière d'un SERM et possèderait également une activité dopaminergique. Par ailleurs, sa sécurité d'emploi n'est pas encore assurée au-delà de six mois d'utilisation et on l'accuse de rares mais graves cas d'atteinte hépatique.
Bibliographie : Bibliogr. f. 126-141 [176 réf.]