Intérêts et limites du diagnostic de kératite amibienne par PCR en temps réel au laboratoire de Parasitologie/Mycologie du C.H.U de Nantes

La kératite amibienne touche principalement les porteurs de lentilles de contact dans les pays industrialisés. C'est une pathologie rare en dépit des deux millions de porteurs de lentilles de contact en France, trente millions aux Etats-Unis. Le protozoaire du genre Acanthamoeba sp. est le prin...

Description complète

Détails bibliographiques
Auteur principal : Brossaud Julie (Auteur)
Collectivité auteur : Nantes Université Pôle Santé UFR des Sciences Pharmaceutiques et Biologiques Nantes (Organisme de soutenance)
Autres auteurs : Miegeville Michel (Directeur de thèse)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Intérêts et limites du diagnostic de kératite amibienne par PCR en temps réel au laboratoire de Parasitologie/Mycologie du C.H.U de Nantes / Julie Brossaud; sous la direction de Michel Miegeville
Publié : [S.l.] : [s.n.] , 2008
Description matérielle : 1 vol. (106 f.)
Note de thèse : Mémoire du DES : Biologie médicale : Nantes : 2008
Thèse d'exercice : Pharmacie : Nantes : 2008
Disponibilité : Publication autorisée par le jury
Sujets :
Documents associés : Reproduit comme: Intérêts et limites du diagnostic de kératite amibienne par PCR en temps réel au laboratoire de Parasitologie/Mycologie du C.H.U de Nantes
Description
Résumé : La kératite amibienne touche principalement les porteurs de lentilles de contact dans les pays industrialisés. C'est une pathologie rare en dépit des deux millions de porteurs de lentilles de contact en France, trente millions aux Etats-Unis. Le protozoaire du genre Acanthamoeba sp. est le principal agent pathogène responsable de kératites amibiennes. Néanmoins, sa morbidité demeure importante avec une grave perte visuelle dans plus de 15% des cas. Ils subsistent en effet des lacunes dans la prise en charge des patients : il s agit d une pathologie de diagnostic difficile. Notre étude a porté sur la mise au point et l évaluation d une technique de PCR pour la détection du protozoaire Acanthamoeba dans les prélèvements ophtalmologiques. Nous montrerons que cette méthode permet une détection plus sensible et plus reproductible du parasite et surtout de rendre un résultat plus rapidement au clinicien.
Bibliographie : Bibliogr. f. 102-106 [89 réf.]