Admissions directes en Médecine Polyvalente : un outil à la disposition des médecins généralistes

Devant l'affluence croissante du nombre d'admissions au Service d'Accueil des Urgences (SAU), il m'a paru important d'évaluer un autre mode d'hospitalisation des patients : l'hospitalisation programmée. J'ai réalisé une première étude rétrospective concernant...

Description complète

Détails bibliographiques
Auteur principal : Goubin Chloé (Auteur)
Collectivité auteur : Nantes Université Pôle Santé UFR Médecine et Techniques Médicales Nantes (Organisme de soutenance)
Autres auteurs : Kouri Dominique El (Directeur de thèse)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Admissions directes en Médecine Polyvalente : un outil à la disposition des médecins généralistes / Chloé Goubin; sous la direction de Dominique El Kouri
Publié : [S.l.] : [s.n.] , 2008
Description matérielle : 1 vol. (84-LVIII p.)
Note de thèse : Thèse d'exercice : Médecine. Médecine générale : Nantes : 2008
Disponibilité : Publication autorisée par le jury
Sujets :
Documents associés : Reproduit comme: Admissions directes en Médecine Polyvalente
Description
Résumé : Devant l'affluence croissante du nombre d'admissions au Service d'Accueil des Urgences (SAU), il m'a paru important d'évaluer un autre mode d'hospitalisation des patients : l'hospitalisation programmée. J'ai réalisé une première étude rétrospective concernant les 500 premiers appels donnés au Centre Téléphonique d'Orientation et d'Accueil qui propose des hospitalisations programmées dans un délai rapide dans le service de Médecine Polyvalente Urgence (MPU). J'ai réalisé ensuite une seconde étude, prospective, concernant les patients hospitalisés en MPU en mars et avril 2008 via le SAU. Il en est ressorti que : - L'hospitalisation peut se faire directement en médecine pour tout adulte présentant un motif d'admission clair (hors pathologies gynécologiques, obstétriques, chirurgicales et psychiatriques), s'il n a pas de signes de gravité ni nécessité urgente d'examens complémentaires ou de traitement. - L'hospitalisation est aujourd'hui encore trop peu programmée puisque encore plus d un patient sur trois admis en MPU via le SAU, aux heures ouvrables, aurait pu être admis dans le service directement. Il me paraît donc utile de faire connaître de façon précise aux médecins libéraux la possibilité de programmer l'hospitalisation de leur patient, évitant ainsi leur passage au SAU.
Bibliographie : Bibliogr. p. 81-83 [30 réf.]