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Comparaison entre anesthésie loco régionale et anesthésie générale dans la méthode chirurgicale d'interruption volontaire de grossesse : vécu des patientes au Centre de Planification de Saint-Nazaire
Ce travail consiste à comparer le vécu des patientes ayant subi une interruption volontaire de grossesse au centre d'orthogénie et de planification de Saint-Nazaire, soit sous anesthésie locorégionale, soit sous anesthésie générale. L'étude est basée sur la réponse des patientes deux quest...
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| Auteurs principaux : | , |
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| Collectivité auteur : | |
| Format : | Thèse ou mémoire |
| Langue : | français |
| Titre complet : | Comparaison entre anesthésie loco régionale et anesthésie générale dans la méthode chirurgicale d'interruption volontaire de grossesse : vécu des patientes au Centre de Planification de Saint-Nazaire / Jérôme Bardou; sous la direction de François-Xavier Laurent |
| Publié : |
[S.l.] :
[s.n.]
, 2005 |
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Accès Nantes Université
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| Note de thèse : | Reproduction de : Thèse d'exercice : Médecine. Médecine générale : Université de Nantes : 2005 |
| Sujets : | |
| Documents associés : | Reproduction de:
Comparaison entre anesthésie loco régionale et anesthésie générale dans la méthode chirurgicale d'interruption volontaire de grossesse |
| Résumé : | Ce travail consiste à comparer le vécu des patientes ayant subi une interruption volontaire de grossesse au centre d'orthogénie et de planification de Saint-Nazaire, soit sous anesthésie locorégionale, soit sous anesthésie générale. L'étude est basée sur la réponse des patientes deux questionnaires: juste après l'intervention, puis à J15. Les patientes du groupe AL sont plus âgées, fréquemment multipare, employées en majorité. Elles ont pour la plupart choisi leur méthode d'anesthésie. Les patientes du groupe AG sont plus jeunes, majoritairement nullipares et lycéennes. L'IVG parait globalement moins bien vécu dans le groupe AL, tant au niveau de la douleur physique que de la douleur morale. La douleur au moment de l'intervention parait déterminante en ce sens. Le déni de la douleur parait plus important dans le groupe AG, dont la maturité semble moins importante. Une standardisation des méthodes d'intervention, une plus large utilisation de la prémédication, une meilleure information des patientes débouchant sur un choix éclairé semblent nécessaires. |
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| Bibliographie : | Bibliogr. |