Intérêt de la compression isostatique dans l'inactivation bactérienne de matériaux phosphocalciques

Différentes techniques de stérilisation sont actuellement autorisées par les autorités de santé et sont encadrées par une législation stricte. D'autres techniques sont actuellement en cours d'évaluation, notamment la compression isostatique. Cette méthode utilisant les hautes pressions est...

Description complète

Détails bibliographiques
Auteurs principaux : Brouillet Marion (Auteur), Daniel-Gautier Hélène (Directeur de thèse)
Collectivité auteur : Nantes Université Pôle Santé UFR Médecine et Techniques Médicales Nantes (Organisme de soutenance)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Intérêt de la compression isostatique dans l'inactivation bactérienne de matériaux phosphocalciques / Marion Brouillet; sous la direction de Hélène Gautier
Publié : [S.l.] : [s.n.] , 2006
Accès en ligne : Accès Nantes Université
Note de thèse : Reproduction de : Thèse d'exercice : Pharmacie : Nantes : 2006
Sujets :
Documents associés : Reproduction de: Intérêt de la compression isostatique dans l'inactivation bactérienne de matériaux phosphocalciques
Description
Résumé : Différentes techniques de stérilisation sont actuellement autorisées par les autorités de santé et sont encadrées par une législation stricte. D'autres techniques sont actuellement en cours d'évaluation, notamment la compression isostatique. Cette méthode utilisant les hautes pressions est actuellement utilisée au Japon pour la stérilisation dans le domaine de l'agroalimentaire mais également en France, dans un tout autre domaine : la mise en forme de substituts osseux. Un travail a donc été mené afin d'étudier les conditions opératoires permettant d'obtenir une diminution maximale de la contamination bactérienne par une souche de Staphylococcus aureus dans un substitut osseux, l'apatite déficiente en calcium. Différents paramètres ont été étudiés : la pression, le temps de palier et le nombre de compressions à appliquer.
Bibliographie : Bibliogr.