Étude de la qualité de vie des patients âgés de plus de 75 ans hospitalisés pour chute

Les chutes en gériatrie sont fréquentes et ont des conséquences non négligeables sur le plan physique et psychique. L'impact des chutes sur la qualité de vie des personnes de plus de 75 ans selon l'échelle de Nottingham (NHP) a été évalué dans une étude prospective. Une corrélation entre l...

Description complète

Enregistré dans:
Détails bibliographiques
Auteurs principaux : Besnier Adeline (Auteur), Moisan-Colliard Camille (Directeur de thèse)
Collectivité auteur : Nantes Université Pôle Santé UFR Médecine et Techniques Médicales Nantes (Organisme de soutenance)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Étude de la qualité de vie des patients âgés de plus de 75 ans hospitalisés pour chute / Adeline Besnier; sous la direction de Camille Colliard
Publié : [S.l.] : [s.n.] , 2010
Accès en ligne : Accès Nantes Université
Note de thèse : Reproduction de : Thèse d'exercice : Médecine. Médecine générale : Nantes : 2010
Sujets :
Documents associés : Reproduction de: Étude de la qualité de vie des patients âgés de plus de 75 ans hospitalisés pour chute
Description
Résumé : Les chutes en gériatrie sont fréquentes et ont des conséquences non négligeables sur le plan physique et psychique. L'impact des chutes sur la qualité de vie des personnes de plus de 75 ans selon l'échelle de Nottingham (NHP) a été évalué dans une étude prospective. Une corrélation entre la qualité de vie et les comorbidités (selon l'échelle du Cumulative Illness Rating Scale a été recherchée. Quarante et un patients ont été inclus. Les catégories du NHP les plus atteintes sont la mobilité et le sommeil. Les patients sans trouble cognitif ressentent davantage l' isolement social .Les patients les plus dénutris ont une atteinte de leur qualité de vie du fait de moindres mobilité et d' énergie . Il n'a pas été montré de corrélation entre le nombre, la sévérité des comorbidités et la qualité de vie. L'amélioration de la qualité de vie des sujets chuteurs doit passer par une modification de la prise en charge du sommeil avec la limitation du recours aux psychotropes, la rééducation précoce et la correction de la dénutrition protidique.
Bibliographie : Bibliogr.