Devenir à long terme de 43 patients porteurs d'une sténose canalaire lombaire, 7 à 13 ans après leur hospitalisation en rhumatologie

Notre étude évalue le devenir de 43 patients (suivi moyen 9,2 ans), hospitalisés en rhumatologie pour une sténose canalaire lombaire. 95 % des patients ont bénéficié d'infiltrations cortisoniques lombaires, sans effets secondaires graves. Les patients toujours en activité, ou ayant déjà eu des...

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Auteurs principaux : Muller-Chevalet Florence (Auteur), Maugars Yves (Directeur de thèse)
Collectivité auteur : Université de Nantes 1962-2021 (Organisme de soutenance)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Devenir à long terme de 43 patients porteurs d'une sténose canalaire lombaire, 7 à 13 ans après leur hospitalisation en rhumatologie / Florence Muller-Chevalet; sous la dir. de Yves Maugars
Publié : [S.l.] : [s.n.] , 2003
Accès en ligne : Accès Nantes Université
Note de thèse : Reproduction de : Thèse d'exercice : Médecine. Rhumatologie : Université de Nantes : 2003
Sujets :
Documents associés : Reproduction de: Devenir à long terme de 43 patients porteurs d'une sténose canalaire lombaire, 7 à 13 ans après leur hospitalisation en rhumatologie
Description
Résumé : Notre étude évalue le devenir de 43 patients (suivi moyen 9,2 ans), hospitalisés en rhumatologie pour une sténose canalaire lombaire. 95 % des patients ont bénéficié d'infiltrations cortisoniques lombaires, sans effets secondaires graves. Les patients toujours en activité, ou ayant déjà eu des infiltrations cortisoniques lombaires en ville, sont plus fréquemment en échec. Les critères prédictifs de chirurgie à l'issue de l'hospitalisation sont une amélioration clinique inférieure à 10 % (EVA), des antalgiques de niveau 2 ou 3 à l'arrivée dans le service, et un périmètre de marche de moins de 50 mètres. 32,6 % des patients seront opérés en 9,2 ans, 40 % dans les 6 premiers mois. A long terme, l'évolution est bonne (absence de douleurs radiculaires dans 44 % des cas), sans différence significative entre les patients opérés ou non. Les sujets dépressifs, pour un périmètre de marche comparable, ont une moindre tolérance de la douleur (EVA), et une gêne fonctionnelle accrue (EIFEL et EVA).
Bibliographie : Bibliogr.