Données récentes sur la physiopathologie et les traitements des maladies pulmonaires obstructives chroniques (MPOC) chez le cheval

Les MPOC chez le cheval correspondent à une hypersensibilité des tissus des voies aériennes, due à l inhalation d'allergènes variés présents dans l'environnement de l'animal. La figure pathologique majeure est une bronchiolite chronique associée à une hyperréactivité bronchique, une h...

Description complète

Détails bibliographiques
Auteurs principaux : Besseyre des Horts Charlotte (Auteur), Lang François (Directeur de thèse)
Collectivité auteur : Nantes Université Pôle Santé UFR des Sciences Pharmaceutiques et Biologiques Nantes (Organisme de soutenance)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Données récentes sur la physiopathologie et les traitements des maladies pulmonaires obstructives chroniques (MPOC) chez le cheval / Charlotte Besseyre des Horts; sous la direction de François Lang
Publié : [S.l.] : [s.n.] , 2010
Accès en ligne : Accès Nantes Université
Note de thèse : Reproduction de : Thèse d'exercice : Pharmacie : Nantes : 2010
Sujets :
Documents associés : Reproduction de: Données récentes sur la physiopathologie et les traitements des maladies pulmonaires obstructives chroniques (MPOC) chez le cheval
Description
Résumé : Les MPOC chez le cheval correspondent à une hypersensibilité des tissus des voies aériennes, due à l inhalation d'allergènes variés présents dans l'environnement de l'animal. La figure pathologique majeure est une bronchiolite chronique associée à une hyperréactivité bronchique, une hyperproduction de mucus, une infiltration cellulaire majoritairement composée de neutrophiles et un phénomène de bronchoconstriction, avec une alternance de phases de rémission et de crise. La prise en charge des MPOC repose sur l'association indispensable de mesures hygiéniques environnementales et de traitements ciblés : principalement corticoïdes et bronchodilatateurs, administrés soit par aérosolthérapie soit par voie systémique.
Bibliographie : Bibliogr.