NantilusLa vaccination méningococcique C : pratiques des médecins généralistes 2 ans après la généralisation de la recommandation vaccinale
La pathologie du voyage est un domaine de la médecine qui prend de plus en plus Contexte : La vaccination méningococcique C systématique des nourrissons de 1 à 2 ans avec rattrapage vaccinal jusqu'à 24 ans révolus est inscrite au calendrier vaccinal depuis 2010. Objectif : Vérifier la pénétrati...
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| Format : | Thèse ou mémoire |
| Langue : | français |
| Titre complet : | La vaccination méningococcique C : pratiques des médecins généralistes 2 ans après la généralisation de la recommandation vaccinale / Pascale Rouau; sous la direction de Jean-Paul Canevet |
| Publié : |
[S.l.] :
[s.n.]
, 2012 |
| Description matérielle : | 1 vol. (69 f.) |
| Note de thèse : | Thèse d'exercice : Médecine. Médecine générale : Nantes : 2012 |
| Sujets : | |
| Documents associés : | Reproduit comme:
La vaccination méningococcique C |
| Résumé : | La pathologie du voyage est un domaine de la médecine qui prend de plus en plus Contexte : La vaccination méningococcique C systématique des nourrissons de 1 à 2 ans avec rattrapage vaccinal jusqu'à 24 ans révolus est inscrite au calendrier vaccinal depuis 2010. Objectif : Vérifier la pénétration de la recommandation deux ans après sa généralisation au moyen d'une évaluation du taux de couverture vaccinale et d'une analyse des pratiques des médecins généralistes et tenter de comprendre certains facteurs facilitant ou limitant la proposition vaccinale. Méthode : Une enquête par questionnaire téléphonique a été menée auprès de 127 médecins généralistes de Loire-Atlantique sélectionnés de façon aléatoire. En parallèle, une enquête documentaire a été réalisée sur les chiffres de remboursements de l'Assurance Maladie des vaccins méningococciques C conjugués sur 2 ans. Résultats : Le taux de couverture vaccinale des nourrissons était de 20% et en progression; celui des adolescents de 14 à 19 ans restait <5%. Les médecins se déclaraient majoritairement informés de la recommandation (71,7%) et proposaient fréquemment la vaccination aux nourrissons (67,8%) mais beaucoup moins aux jeunes adultes (33,9%). Le calendrier vaccinal chargé et l'incidence faible de la maladie étaient des freins à la prescription. L'objectif immunitaire individuel et collectif n'était connu que de 51,2% des médecins et 33% estimaient avoir reçu une information insuffisante. Les médecins, parfois informés de façon incomplète de la recommandation vaccinale, en font une utilisation partielle. La vaccination des nourrissons est en progression mais le rattrapage vaccinal reste très faible. Ces résultats invitent à réfléchir sur les moyens de diffusion de l'information par les autorités sanitaires qui permettraient aux professionnels de santé de mieux appréhender les objectifs de cette vaccination. |
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| Bibliographie : | Bibliogr. f. 58-62 [53 réf.] |