Notre expérience nantaise dans la nouvelle imagerie des tumeurs parotidiennes : à propos de 47 cas

Les tumeurs parotidiennes (5% des tumeurs de la tête et du cou) sont bénignes dans plus de 80% des cas. Leur traitement est avant tout chirurgical mais la parotidectomie n'est pas dénuée de risques en particulier pour le nerf facial. L'examen paraclinique essentiel du bilan pré-thérapeutiq...

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Auteurs principaux : Flament Julie (Auteur), Mourrain-Langlois Emmanuelle (Directeur de thèse)
Collectivité auteur : Nantes Université Pôle Santé UFR Médecine et Techniques Médicales Nantes (Organisme de soutenance)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Notre expérience nantaise dans la nouvelle imagerie des tumeurs parotidiennes : à propos de 47 cas / Julie Flament; sous la direction de Emmanuelle Mourrain-Langlois
Publié : [S.l.] : [s.n.] , 2012
Accès en ligne : Accès Nantes Université
Note de thèse : Reproduction de : Thèse d'exercice : Médecine. Radiodiagnostic et imagerie médicale : Nantes : 2012
Sujets :
Documents associés : Reproduction de: Notre expérience nantaise dans la nouvelle imagerie des tumeurs parotidiennes
Description
Résumé : Les tumeurs parotidiennes (5% des tumeurs de la tête et du cou) sont bénignes dans plus de 80% des cas. Leur traitement est avant tout chirurgical mais la parotidectomie n'est pas dénuée de risques en particulier pour le nerf facial. L'examen paraclinique essentiel du bilan pré-thérapeutique est l'IRM. Notre étude prospective, réalisée au CHU de Nantes, auprès de 46 patients, montre l'intérêt de l'ajout des séquences fonctionnelles de diffusion et perfusion dynamique au protocole classique basé sur les séquences morphologiques (T1, T1 Gadolinium et T2) pour une meilleure caractérisation tissulaire des lésions les plus fréquentes et dans la distinction tumeurs bénignes / tumeurs malignes. La combinaison de l'IRM avec les données de la cytoponction à l'aiguille fine apporte aussi un gain. Cela permet une meilleure information du malade et une discussion dans la prise en charge, pour ne pas laisser évoluer une tumeur suspecte, parfois de surseoir à l'intervention chez des patients fragiles porteurs d'une tumeur à très faible risque de dégénérescence comme un cystadénolymphome.
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Bibliographie : Bibliogr. 108 réf.