Évaluation de la perte endothéliale et de la durée de vie des greffes cornéennes pour kératocône, avec comparaison entre kératoplastie transfixiante et kératoplastie lamellaire antérieure profonde
Le kératocône est une dystrophie cornéenne qui nécessite dans 20% des cas le recours à une kératoplastie qui peut s'effectuer de manière transfixiante ou lamellaire antérieure profonde. La perte endothéliale progressive après la kératoplastie aboutit à la perte de transparence du greffon par dé...
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Format : | Thèse ou mémoire |
Langue : | français |
Titre complet : | Évaluation de la perte endothéliale et de la durée de vie des greffes cornéennes pour kératocône, avec comparaison entre kératoplastie transfixiante et kératoplastie lamellaire antérieure profonde / Lucy Longeron; sous la direction de Isabelle Orignac |
Publié : |
[S.l.] :
[s.n.]
, 2012 |
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Accès Nantes Université
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Note de thèse : | Reproduction de : Thèse d'exercice : Médecine. Ophtalmologie : Nantes : 2012 |
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Évaluation de la perte endothéliale et de la durée de vie des greffes cornéennes pour kératocône, avec comparaison entre kératoplastie transfixiante et kératoplastie lamellaire antérieure profonde |
Résumé : | Le kératocône est une dystrophie cornéenne qui nécessite dans 20% des cas le recours à une kératoplastie qui peut s'effectuer de manière transfixiante ou lamellaire antérieure profonde. La perte endothéliale progressive après la kératoplastie aboutit à la perte de transparence du greffon par défaut de régulation de l'hydratation cornéenne. Le but de notre travail est de comparer ces deux techniques chirurgicales, principalement en termes d'évolution cellulaire endothéliale et de survie du greffon. Si les résultats fonctionnels sont comparables, ce n'est pas le cas pour la perte cellulaire endothéliale qui est accrue sévèrement après kératoplastie transfixiante par rapport à la kératoplastie antérieure lamellaire profonde. La perte est surtout majeure en post-opératoire immédiat liée au traumatisme chirurgical initial. En conséquence, la survie de la greffe, calculée à 50 ans, est quadruplée après une kératoplastie antérieure lamellaire profonde par rapport à une kératoplastie transfixiante réduite à 10,4 ans. Cet atout majeur, qui vient s'ajouter à celui de sa sécurité immunologique, place encore davantage la kératoplastie antérieure lamellaire profonde comme technique chirurgicale de choix dans le traitement du kératocône. |
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Bibliographie : | Bibliogr. 110 réf. |