Réalisation d'un électrocardiogramme lors de la visite de non contre-indication à la pratique sportive de compétition entre 12 et 35 ans : étude de pratiques réalisée auprès des médecins généralistes de la presqu'île guérandaise
Introduction : La Société Française de Cardiologie recommande, depuis 2009, la réalisation systématique d'un électrocardiogramme de repos pour les sportifs de compétition de 12 à 35ans ; il sera répété tous les 3 ans entre 12 et 20 ans et tous les 5 ans jusqu'à 35 ans. Méthode : Une enquêt...
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Format : | Thèse ou mémoire |
Langue : | français |
Titre complet : | Réalisation d'un électrocardiogramme lors de la visite de non contre-indication à la pratique sportive de compétition entre 12 et 35 ans : étude de pratiques réalisée auprès des médecins généralistes de la presqu'île guérandaise / Anne Lise Hennebel; sous la direction de Joseph Rousselot |
Publié : |
[S.l.] :
[s.n.]
, 2014 |
Description matérielle : | 1 vol. (109 f.) |
Note de thèse : | Thèse d'exercice : Médecine. Médecine générale : Nantes : 2014 |
Sujets : | |
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Réalisation d'un électrocardiogramme lors de la visite de non contre-indication à la pratique sportive de compétition entre 12 et 35 ans |
Résumé : | Introduction : La Société Française de Cardiologie recommande, depuis 2009, la réalisation systématique d'un électrocardiogramme de repos pour les sportifs de compétition de 12 à 35ans ; il sera répété tous les 3 ans entre 12 et 20 ans et tous les 5 ans jusqu'à 35 ans. Méthode : Une enquête a été réalisée auprès de 159 médecins généralistes de la presqu'île guérandaise, en Loire Atlantique, afin d'évaluer leur intention de pratiques professionnelles quant à l'application des recommandations ; les freins rencontrés et leur opinion ont également été étudiés. Résultats : 91 médecins ont répondus au questionnaire (57,2%). 10% appliquent systématiquement les recommandations, 24% ne les appliquent jamais ; 70% connaissent les recommandations ; 53% possèdent un appareil à ECG ; 21% ont bénéficié d'une formation ; 50% ont modifié leurs pratiques. Les freins les plus fréquemment cités sont : le coût trop important, le manque de formation à l'interprétation de l'ECG du sportif, le soucis d'organisation et le manque de temps. Conclusion : Les médecins appliquent peu les recommandations de manière systématique, mais beaucoup ont déjà modifié leurs pratiques ; une meilleure formation des médecins impliqués dans le dépistage semble nécessaire. La plupart d'entre eux sollicitent une déclaration consensuelle des sociétés savantes. Enfin, des travaux complémentaires de recherche sont nécessaires. |
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Bibliographie : | Bibliogr. f. 85-88, 61 réf. |