Immunothérapies anti-PD1 et anti PD-L1 en cancérologie : étude des patients traités en phase 1 à l'institut Gustave Roussy

Les nouvelles immunothérapies ciblant les rétrocontrôles du système immunitaire montrent qu'elles peuvent induire des réponses anti-tumorales prolongées et augmenter la survie des patients. L'anti CTLA4 ipilimumab est ainsi le premier de ces traitements à obtenir une AMM en 2011 pour les m...

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Auteurs principaux : Champiat Stéphane (Auteur), Soria Jean-Charles (Directeur de thèse)
Collectivités auteurs : Université de Nantes 1962-2021 (Organisme de soutenance), Nantes Université Pôle Santé UFR Médecine et Techniques Médicales Nantes (Organisme de soutenance)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Immunothérapies anti-PD1 et anti PD-L1 en cancérologie : étude des patients traités en phase 1 à l'institut Gustave Roussy / Stéphane Champiat; sous la direction de Jean-Charles Soria
Publié : [S.l.] : [s.n.] , 2014
Accès en ligne : Accès Nantes Université
Note de thèse : Reproduction de : Thèse d'exercice : Médecine. Oncologie médicale : Nantes : 2014
Sujets :
Documents associés : Reproduction de: Immunothérapies anti-PD1 et anti PD-L1 en cancérologie
Description
Résumé : Les nouvelles immunothérapies ciblant les rétrocontrôles du système immunitaire montrent qu'elles peuvent induire des réponses anti-tumorales prolongées et augmenter la survie des patients. L'anti CTLA4 ipilimumab est ainsi le premier de ces traitements à obtenir une AMM en 2011 pour les mélanomes avancés. Depuis, d'autres voies inhibitrices de l'immunité sont ciblées avec les anticorps anti PD1 et anti PD-L1. Afin de mieux appréhender le profil d'utilisation de ces nouvelles molécules, nous avons analysé les données cliniques, biologiques ou radiologiques de tous les patients ayant participés à un essai de phase 1 évaluant une thérapeutique anti-PD1 ou anti-PD-L1 au sein du Service des Innovations Thérapeutiques Précoces (SITEP) de l'Institut Gustave Roussy, entre décembre 2011 et janvier 2014. 124 patients ont ainsi été inclus dont 80 patients atteints de mélanome, 14 CBNPC, 13 cancers du rein, 9 tumeurs urothéliales. 74% des patients ont été traités par un anti PD1. Notre étude met en évidence un profil de réponses et de toxicités spécifique par rapport aux thérapeutiques anti-cancéreuses cytotoxiques conventionnelles qui nécessitera d'adapter nos pratiques. Les premiers résultats obtenus avec les anti PD1 et anti PD-L1 sont encore plus prometteurs qu'avec les anti CTLA4.
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Bibliographie : Bibliogr. 48 réf.