Octave Gréard : 1828-1904
La 4e de couverture indique : "Cet intellectuel humaniste aurait pu construire une brillante carrière universitaire soutenue par une large production littéraire. Il change de voie à trente-six ans et amorce alors une rapide ascension professionnelle : inspecteur d académie (1864), chargé de l e...
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Format : | Thèse ou mémoire |
Langue : | français |
Titre complet : | Octave Gréard : 1828-1904 / Stéphanie Dauphin; préface de Jean-François Condette |
Publié : |
Rennes :
Presses universitaires de Rennes
, DL 2016 |
Description matérielle : | 1 vol. (353 p.) |
Collection : | Histoire (Rennes) |
Note de thèse : | Texte remanié de : Thèse de doctorat : Histoire : Paris 4 : 2012 |
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Octave Gréard, réformateur de l'enseignement primaire de Second Empire à la Belle Époque |
Résumé : | La 4e de couverture indique : "Cet intellectuel humaniste aurait pu construire une brillante carrière universitaire soutenue par une large production littéraire. Il change de voie à trente-six ans et amorce alors une rapide ascension professionnelle : inspecteur d académie (1864), chargé de l enseignement primaire du département de la Seine (1866), dont il devient directeur (1870), avant d être nommé inspecteur général (1871), directeur de l enseignement primaire au ministère (1872), et enfin vice-recteur (1879). Bien introduit auprès des divers ministres qui se succèdent, il s impose comme une éminence grise au service de l école républicaine populaire. Une idée essentielle d Octave Gréard est d avoir érigé Paris et la Seine en laboratoire pédagogique. En 1868, il élabore sa Nouvelle organisation des écoles primaires en trois cycles qui sera étendue à toute la France. Il fixe les programmes d enseignement, les emplois du temps et les méthodes de travail. Il prévoit un recrutement élargi des futurs maîtres en créant deux écoles normales primaires dans la capitale. L école pour tous implique de sa part un effort sans précédent de constructions scolaires pour garçons et filles. S ajoutent à cette préoccupation les salles d asile, les écoles primaires supérieures, les écoles d apprentis et les cours d adultes. Devenu recteur, tous ces chantiers ont des répercussions dans l ensemble de l académie de Paris (9 départements). À sa mort en 1904, le journal Le Siècle lui rend hommage : Il fut mêlé à toute l œuvre scolaire de la Troisième République et mérita d être appelé par Jules Ferry le premier instituteur de France. " |
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Notes : | Version allégée de la thèse de l'auteur : "Octave Gréard, réformateur de l'enseignement primaire du second empire à la belle époque" |
Bibliographie : | Bibliogr. pages 327-344. Index |
ISBN : | 978-2-7535-4316-4 |