Étude de la relation d'emprise comme modèle de violence psychologique : définition, objectivation, réflexion sur la prise en charge clinique et médico-légale
La question de la violence psychologique suscite un intérêt général grandissant. Elle se situe à une interface santé/justice qui sollicite notamment le psychiatre. L'étude de l'emprise psychologiquecomme modèle de violence psychologiquepermet de mieux définir et délimiter cette question et...
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Format : | Thèse ou mémoire |
Langue : | français |
Titre complet : | Étude de la relation d'emprise comme modèle de violence psychologique : définition, objectivation, réflexion sur la prise en charge clinique et médico-légale / Lucie Pécaud; sous la direction de Laurent Desblancs |
Publié : |
2017 |
Description matérielle : | 1 vol. (160 f.) |
Note de thèse : | Thèse d'exercice : Médecine. Psychiatrie : Nantes : 2017 |
Sujets : | |
Documents associés : | Reproduit comme:
Étude de la relation d'emprise comme modèle de violence psychologique |
Résumé : | La question de la violence psychologique suscite un intérêt général grandissant. Elle se situe à une interface santé/justice qui sollicite notamment le psychiatre. L'étude de l'emprise psychologiquecomme modèle de violence psychologiquepermet de mieux définir et délimiter cette question et d'étudier les enjeux soulevés en psychiatrie générale et médico-légale par son objectivation et sa prise en charge. Une étude de la psychopathologie et une réflexion sur le normal et le pathologique sont proposées. Une étude du cadre légal apparaît également indispensable au traitement de ce sujet. L'objectivation de ce type de violence est possible en clinique psychiatrique générale par l'étude de ses séquelles sur le psychisme,et en clinique médico-légale par l'étude de textes de lois récents. Une réflexion est menée sur les moyens de mieux repérer et appréhender les situations d'emprise en pratique clinique. L'étude des violences psychologiques est à poursuivre et constitue un enjeu de santé mentale et de santé publique. |
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Bibliographie : | Bibliogr. f. 146-157, 130 réf. |