Affections cutanées et inhibiteurs de protéines kinases sous surveillance renforcée : analyse des cas de la base nationale de pharmacovigilance française et de la littérature
Les Inhibiteurs de Protéines Kinases (IPK) sont des thérapies anti-tumorales ciblées en plein essor. Bien que ces médicaments agissent de façon plus spécifique sur les cellules tumorales par rapport aux chimiothérapies conventionnelles, ils ne sont pas dénués de toxicité. En effet, ils sont notammen...
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Format : | Thèse ou mémoire |
Langue : | français |
Titre complet : | Affections cutanées et inhibiteurs de protéines kinases sous surveillance renforcée : analyse des cas de la base nationale de pharmacovigilance française et de la littérature / Stéphanie Thébaud; sous la direction de Anne-Lise Ruellan |
Publié : |
2017 |
Description matérielle : | 1 vol. (124 f.) |
Note de thèse : | Thèse d'exercice : Pharmacie : Nantes : 2017 |
Sujets : | |
Documents associés : | Reproduit comme:
Affections cutanées et inhibiteurs de protéines kinases sous surveillance renforcée |
Résumé : | Les Inhibiteurs de Protéines Kinases (IPK) sont des thérapies anti-tumorales ciblées en plein essor. Bien que ces médicaments agissent de façon plus spécifique sur les cellules tumorales par rapport aux chimiothérapies conventionnelles, ils ne sont pas dénués de toxicité. En effet, ils sont notamment associés à de nombreux effets indésirables cutanés. Au vu de la commercialisation récente de ces médicaments, le recul post-commercialisation est insuffisant, en particulier pour les nouveaux IPK sous surveillance renforcée. Nous avons donc mené une étude rétrospective à partir des données extraites de la base nationale de pharmacovigilance française afin de mieux caractériser le profil de tolérance cutanée des IPK sous surveillance renforcée. Ainsi, nous avons recueilli 423 effets indésirables cutanés. Leur étude a permis de mettre en évidence les effets indésirables majoritairement rapportés et les effets indésirables inattendus. En outre, nous avons effectué une analyse plus précise des cas de syndrome DRESS qui a soulevé une problématique majeure par rapport à la bithérapie combinant le Zelboraf® et le Cotellic®. |
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Bibliographie : | Bibliogr. f.116-123, 89 réf. |