Polyarthrite rhumatoïde et parodontite : mécanismes inflammatoires et biothérapies

La polyarthrite rhumatoïde (PR) et la parodontite sont deux pathologies inflammatoires chroniques, qui ont de nombreuses similitudes, ce qui a poussé les chercheurs à s'interroger sur leurs éventuels liens. Dans ces maladies, Porphyromonas gingivalis semble être un pathogène clef. De plus, elle...

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Auteurs principaux : Virey Sigrid (Auteur), Cloitre Alexandra (Directeur de thèse)
Collectivités auteurs : Université de Nantes 1962-2021 (Organisme de soutenance), Nantes Université Pôle Santé UFR Odontologie Nantes (Organisme de soutenance)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Polyarthrite rhumatoïde et parodontite : mécanismes inflammatoires et biothérapies / Sigrid Virey; sous la direction de Alexandra Cloitre
Publié : Nantes : Université de Nantes , 2018
Accès en ligne : Accès Nantes Université
Note sur l'URL : Accès réservé à la communauté universitaire de Nantes après authentification
Note de thèse : Reproduction de : Thèse d'exercice : Chirurgie dentaire : Nantes : 2018
Disponibilité : Accès réservé aux membres de la communauté universitaire de Nantes
Sujets :
Documents associés : Reproduction de: Polyarthrite rhumatoïde et parodontite
Description
Résumé : La polyarthrite rhumatoïde (PR) et la parodontite sont deux pathologies inflammatoires chroniques, qui ont de nombreuses similitudes, ce qui a poussé les chercheurs à s'interroger sur leurs éventuels liens. Dans ces maladies, Porphyromonas gingivalis semble être un pathogène clef. De plus, elles partagent des acteurs inflammatoires communs : le TNF-a, l'IL-6, l'IL-1b ou encore l'IL-17A. Ces cytokines sont utilisées comme cibles des biothérapies, dans les cas les plus sévères de PR. Sur la base des similarités immunopathogéniques entre la PR et la parodontite, il est apparu que ces biothérapies pourraient également agir sur l'état parodontal. Une analyse de la littérature a retenu 7 études, de niveau 3, et regroupant 242 patients au total. Les résultats sur l'inflammation gingivale apparaissent contradictoires, tandis que ceux sur la perte osseuse alvéolaire tendent à montrer une stabilisation, voire une diminution de la destruction parodontale. Cela permet d'appuyer le rôle clef des cytokines dans la parodontite et d'ouvrir de nouvelles perspectives thérapeutiques.
Notes : Description d'après la consultation, 2018-07-25
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Bibliographie : Bibliogr. 114 réf.