Les capacités olfactives des chiens ouvrent de nouvelles perspectives dans le dépistage du cancer
Aucune odeur sur terre n'échappe à la truffe canine, pas même celle du cancer. Avec ses 200 millions de neurones olfactifs contre 5 millions pour l'homme, les chiens possèdent un odorat 40 fois plus développé que le nôtre. L'homme a su mettre à profit les capacités olfactives exceptio...
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Collectivités auteurs : | , |
Format : | Thèse ou mémoire |
Langue : | français |
Titre complet : | Les capacités olfactives des chiens ouvrent de nouvelles perspectives dans le dépistage du cancer / Clotilde Porteau; sous la direction de François Lang |
Publié : |
Nantes :
Université de Nantes
, 2018 |
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Accès Nantes Université
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Note de thèse : | Reproduction de : Thèse d'exercice : Pharmacie : Nantes : 2018 |
Sujets : | |
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Les capacités olfactives des chiens ouvrent de nouvelles perspectives dans le dépistage du cancer |
Résumé : | Aucune odeur sur terre n'échappe à la truffe canine, pas même celle du cancer. Avec ses 200 millions de neurones olfactifs contre 5 millions pour l'homme, les chiens possèdent un odorat 40 fois plus développé que le nôtre. L'homme a su mettre à profit les capacités olfactives exceptionnelles du chien pour pallier à son déficit olfactif dans de multiples domaines d'utilité et le dernier en date est le dépistage du cancer. Les scientifiques ont apporté la preuve qu'un chien bien entraîné est capable de dépister le cancer grâce à son odorat avec une extrême précision. Des chiens ont parfaitement réussi à détecter le mélanome, le cancer de la vessie, le cancer du poumon, le cancer des ovaires, le cancer colorectal, le cancer de la prostate, le cancer du sein et le cancer de la thyroïde. Mais comment les chiens les dépistent-ils ? Le cancer a-t-il réellement une odeur ? Le dépistage du cancer grâce à l'odorat du chien s'avère être une méthode de détection très précoce, fiable, peu coûteuse, rapide, simple, non douloureuse, non invasive et particulièrement intéressante chez les enfants. Une signature olfactive spécifique du cancer permet donc de le détecter et ainsi de le diagnostiquer. De nombreux chercheurs se sont penchés sur l'identification des molécules : les biomarqueurs volatils responsables de cette empreinte olfactive. L'objectif à terme est de remplacer les canidés par la technologie : des nez électroniques. Ces nez artificiellement intelligents seraient capables de déceler des cocktails d'odeurs à partir d'échantillons facilement prélevés chez les patients : l'urine, l'haleine, le sang |
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Notes : | Description d'après la consultation, 2018-10-30 Titre provenant de l'écran-titre L'impression du document génère 224 p. |
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Bibliographie : | Bibliogr. 181 réf. |