Impact de l'obésité féminine sur le taux de naissances vivantes après transfert d'embryons congelés

L'obésité est un problème majeur de santé publique qui diminue la fertilité spontanée des femmes en âge de procréer. Il existe un impact négatif de l'obésité sur les issues de grossesses après fécondation in vitro (FIV) +/- injection intra cytoplasmique de spermatozoïde (ICSI) et transfert...

Description complète

Détails bibliographiques
Auteurs principaux : Prost Estelle (Auteur), Lefebvre Tiphaine (Directeur de thèse), Barrière Paul (Président du jury de soutenance), Fréour Thomas (Membre du jury), Masson Damien (Membre du jury)
Collectivités auteurs : Université de Nantes 1962-2021 (Organisme de soutenance), Nantes Université Pôle Santé UFR Médecine et Techniques Médicales Nantes (Organisme de soutenance)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Impact de l'obésité féminine sur le taux de naissances vivantes après transfert d'embryons congelés / Estelle Prost; sous la direction de Tiphaine Lefebvre
Publié : Nantes : Université de Nantes , 2019
Accès en ligne : Accès Nantes Université
Note de thèse : Reproduction de : Thèse d'exercice : Médecine. Gynécologie médicale : Nantes : 2019
Conditions d'accès : Thèse soumise à l'embargo de l'auteur jusqu'au 01-04-2021.
Sujets :
Documents associés : Reproduction de: Impact de l'obésité féminine sur le taux de naissances vivantes après transfert d'embryons congelés
Description
Résumé : L'obésité est un problème majeur de santé publique qui diminue la fertilité spontanée des femmes en âge de procréer. Il existe un impact négatif de l'obésité sur les issues de grossesses après fécondation in vitro (FIV) +/- injection intra cytoplasmique de spermatozoïde (ICSI) et transfert d'embryons frais (TEF). L'objectif de notre étude était de déterminer si l'obésité féminine pouvait impacter les taux de naissances vivantes après la réalisation de TEC. Il s'agissait d'une étude rétrospective, monocentrique, portant sur 2 253 TEC. Il n'existait pas de différence significative des taux de naissances vivantes, des taux de grossesses cliniques et du taux d'implantation après TEC entre les patientes obèses (n=252) et celles de poids normal (n=1 415). L'analyse univariée et la modélisation multivariée ne retrouvait aucun impact de l'IMC sur la survenue d'une naissance vivante après TEC. L'obésité, tout comme la réalisation de TEF altèreraient la réceptivité utérine. Notre hypothèse est que le recours au TEC chez les patientes obèses améliorerait les issues de grossesses en optimisant la réceptivité utérine et donc l'implantation embryonnaire.
Notes : Description d'après la consultation, 2019-05-27
Titre provenant de l'écran-titre
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Autre(s) contribution(s) : Paul Barrière (Président du jury) ; Thomas Fréour, Damien Masson (Membre(s) du jury)
Configuration requise : Un logiciel capable de lire un fichier au format PDF
Bibliographie : Bibliogr. 47 réf.