Place de la morphine à action prolongée dans la réduction des risques et des dommages en addictologie

Dans le champ de l'addictologie, et plus particulièrement dans celui de la prise en charge de la pharmacodépendance majeure aux opiacés, les sulfates de morphine occupent une place particulière en raison de leur position ambigüe, à mi-chemin entre drogue et traitement de substitution non offici...

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Détails bibliographiques
Auteurs principaux : Verholleman Audrey (Auteur), Cholet Jennyfer (Directeur de thèse), Grall-Bronnec Marie (Président du jury de soutenance)
Collectivités auteurs : Université de Nantes 1962-2021 (Organisme de soutenance), Nantes Université Pôle Santé UFR Médecine et Techniques Médicales Nantes (Organisme de soutenance)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Place de la morphine à action prolongée dans la réduction des risques et des dommages en addictologie / Audrey Verholleman; sous la direction de Jennyfer Cholet
Publié : Nantes : Université de Nantes , 2020
[Lieu de publication inconnu] : [éditeur inconnu]
Accès en ligne : Accès Nantes Université
Reproduction de : Reproduction numérique de l'original imprimé datant de 2019
Note de thèse : Reproduction de : Thèse d'exercice : Médecine. Psychiatrie : Nantes : 2019
Sujets :
Documents associés : Reproduction de: Place de la morphine à action prolongée dans la réduction des risques et des dommages en addictologie
Description
Résumé : Dans le champ de l'addictologie, et plus particulièrement dans celui de la prise en charge de la pharmacodépendance majeure aux opiacés, les sulfates de morphine occupent une place particulière en raison de leur position ambigüe, à mi-chemin entre drogue et traitement de substitution non officiel. Depuis les dix dernières années, les différents dispositifs de pharmacovigilance font état d'une augmentation progressive des consommations de sulfates de morphine, et en particulier le Skenan , parmi les usagers de drogues. Ils sont indiqués en France dans le traitement des douleurs intenses et/ou rebelles aux autres antalgiques, mais sont parfois utilisés hors autorisation de mise sur le marché, sous leur forme de morphine à action prolongée, comme traitement de substitution aux opiacés. Ce travail se propose de faire un état des lieux de l'usage et du mésusage des sulfates de morphine en France, avant d'évaluer l'éventuelle pertinence de l'utilisation de la morphine à action prolongée dans le traitement et l'accompagnement de la dépendance majeure aux opiacés, en nous basant sur des arguments pharmacologiques, scientifiques et cliniques.
Notes : Description d'après la consultation, 2020-01-22
Titre provenant de l'écran-titre
L'impression du document génère 108 p.
Autre(s) contribution(s) : Marie Grall-Bronnec (Président du jury)
Configuration requise : Un logiciel capable de lire un fichier au format PDF
Bibliographie : Bibliogr. 80 réf.