Avulsion sous amplificateur de brillance de la troisième molaire maxillaire projetée dans les tissus profonds de la face
La projection de la troisième molaire maxillaire dans les tissus profonds de la face fait partie des complications les plus redoutées et les moins bien documentées concernant l'avulsion de la troisième molaire maxillaire. Lorsque cette complication survient, la dent va se diriger dans deux régi...
Enregistré dans:
Auteurs principaux : | , , , , |
---|---|
Collectivités auteurs : | , |
Format : | Thèse ou mémoire |
Langue : | français |
Titre complet : | Avulsion sous amplificateur de brillance de la troisième molaire maxillaire projetée dans les tissus profonds de la face / Louis Saussier; sous la direction de Philippe Lesclous et de Philippe Lebaud |
Publié : |
2019 |
Description matérielle : | 1 vol. (84 p.) |
Note de thèse : | Thèse d'exercice : Chirurgie dentaire : Nantes : 2019 |
Sujets : | |
Documents associés : | Reproduit comme:
Avulsion sous amplificateur de brillance de la troisième molaire maxillaire projetée dans les tissus profonds de la face |
Résumé : | La projection de la troisième molaire maxillaire dans les tissus profonds de la face fait partie des complications les plus redoutées et les moins bien documentées concernant l'avulsion de la troisième molaire maxillaire. Lorsque cette complication survient, la dent va se diriger dans deux régions anatomiques : le sinus maxillaire et la fosse infra-temporale. Ces deux sites présentent des risques anatomiques rendant sa voie d'abord chirurgicale difficile, et la dent se retrouvant projetée dans ces régions peut présenter un potentiel pathogène imprédictible. Parmi les appareils radiologiques dont nous disposons à l'heure actuelle, la scopie pulsée, réalisée avec un amplificateur de brillance, fait partie des meilleurs moyens radiologiques permettant d'obtenir des images cinétiques en temps réels de l'intérieur des structures. Exploitée lors des bonnes indications, elle peut être une clef permettant de récupérer la dent projetée dans les os de la face, car elle offre au chirurgien la possibilité de savoir la situation anatomique exacte de la dent projetée, de la retrouver et de la récupérer par voie alvéolaire sans dissection supplémentaire et pendant l'intervention. À travers une analyse de la littérature, et une étude clinique rétrospective de dix ans concernant l'utilisation de cette technique, nous vous exposons les impératifs, les enjeux, les possibilités et les risques qu'offre ce protocole novateur radiologique et chirurgical. |
---|---|
Notes : | Autre (s) contribution (s) : Philippe Lesclous (Président du jury) ; Saïd Kimakhe, Fabienne Jordana (Assesseurs) |
Bibliographie : | Bibliogr. p. 73-80 |