Zones anatomiques à risque chirurgical et implantaire au maxillaire : intérêts du cone beam

Au cours du temps, de nombreuses techniques ont été développées afin de limiter les complications chirurgicales et d'assurer le remplacement des dents absentes. L'implantologie a fortement évolué depuis les années 1950 et la découverte de l'ostéointégration par le Dr Brannemark. Aujou...

Description complète

Détails bibliographiques
Auteurs principaux : Berry Pierre-Alexandre (Auteur), Jordana Fabienne (Directeur de thèse), Amouriq Yves (Président du jury de soutenance), Kimakhe Saïd (Membre du jury), Huguet Grégoire (Membre du jury)
Collectivités auteurs : Université de Nantes 1962-2021 (Organisme de soutenance), Nantes Université Pôle Santé UFR Odontologie Nantes (Organisme de soutenance)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Zones anatomiques à risque chirurgical et implantaire au maxillaire : intérêts du cone beam / Pierre-Alexandre Berry; sous la direction de Fabienne Jordana
Publié : 2020
Description matérielle : 1 vol. (71 f.)
Note de thèse : Thèse d'exercice : Chirurgie dentaire : Nantes : 2020
Sujets :
Documents associés : Reproduit comme: Zones anatomiques à risque chirurgical et implantaire au maxillaire
Description
Résumé : Au cours du temps, de nombreuses techniques ont été développées afin de limiter les complications chirurgicales et d'assurer le remplacement des dents absentes. L'implantologie a fortement évolué depuis les années 1950 et la découverte de l'ostéointégration par le Dr Brannemark. Aujourd'hui, l'implant dentaire n'est plus seulement une alternative thérapeutique mais un premier choix dans l'établissement des plans de traitement. Cependant dans certaines situations, la proximité de structures anatomiques vient complexifier la pose de ceux-ci. Le sinus maxillaire est une de ces zones anatomiques majeures qu'il est nécessaire d'analyser pour mener à bien les actes chirurgicaux. Par l'intermédiaire d'une revue systématique de la littérature, nous allons étudier l'intérêt du CBCT (Cone Beam Computed Tomography) pour évaluer ces zones à risques chirurgical et implantaire au maxillaire. Ainsi, à l'aide de données relevées dans plusieurs articles, nous établirons des conclusions afin de mieux appréhender ces riques. On notera l'avantage de l'avènement du cone beam, en comparant certains résultats avec ceux obtenus par orthopanthomogramme.
Notes : Autre (s) contribution (s) : Yves Amouriq (Président du jury) ; Saïd Kimakhe, Grégoire Huguet (Assesseurs)
Bibliographie : Bibliogr. f. 62-71, 116 réf.