L'échec primaire de l'ostéointégration en implantologie : analyse de la littérature
Introduite dans les années 1960 par le Professeur Brånemark, l'implantologie fait de nos jours partie intégrante des plans de traitements en odontologie. Malgré une grande fiabilité de cette discipline et des taux de succès toujours plus élevés, les échecs sont inévitables et restent une préocc...
Auteurs principaux : | , , , , |
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Collectivités auteurs : | , |
Format : | Thèse ou mémoire |
Langue : | français |
Titre complet : | L' échec primaire de l'ostéointégration en implantologie : analyse de la littérature / Valentine Willocq; sous la direction de Alain Hoornaert |
Publié : |
Nantes :
Université de Nantes
, 2020 [Lieu de publication inconnu] : [éditeur inconnu] |
Accès en ligne : |
Accès Nantes Université
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Note de thèse : | Reproduction de : Thèse d'exercice : Chirurgie dentaire : Nantes : 2020 |
Sujets : | |
Documents associés : | Reproduction de:
L' échec primaire de l'ostéointégration en implantologie |
Résumé : | Introduite dans les années 1960 par le Professeur Brånemark, l'implantologie fait de nos jours partie intégrante des plans de traitements en odontologie. Malgré une grande fiabilité de cette discipline et des taux de succès toujours plus élevés, les échecs sont inévitables et restent une préoccupation majeure des praticiens. Le facteur clé du succès implantaire c'est l'établissement de l'ostéointégration, une liaison de nature très solide entre l'implant et l'os environnant. On parle d'échec primaire de l'ostéointégration lorsque cette liaison ne parvient pas à s'établir, entre le moment où l'implant est posé et jusqu'à la mise en place du pilier implantaire. Grâce à une analyse de la littérature, ce travail de thèse a permis d'établir une synthèse des différents facteurs de risque de l'échec primaire de l'ostéointégration, au vu des données scientifiques actuellement disponibles. Ces facteurs vont permettre d'aider les praticiens dans le dépistage des patients les plus à risque, afin d'adapter leurs thérapeutiques, maximiser la prévisibilité du pronostic du traitement implantaire et ainsi minimiser les échecs primaires de l'ostéointégration. |
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Notes : | Description d'après la consultation, 2020-11-05 Titre provenant de l'écran-titre L'impression du document génère 93 p. Autre (s) contribution (s) : Zahi Badran (Président du jury) ; Xavier Struillou, Grégoire Huguet (Assesseurs) |
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Bibliographie : | Bibliogr. 58 réf. |