Évaluation des pratiques médico-légales et place de la génétique dans le cadre des morts subites du sujet jeune

La prise en charge optimale des morts subites de sujets jeunes constitue un enjeu important pour les professionnels et les familles. Nous avons étudié les pratiques médico-légales en France concernant ces décès via deux questionnaires et la revue rétrospective des cas traités à Nantes. Nos résultats...

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Auteurs principaux : Salmon Émeline (Auteur), Clément Renaud (Directeur de thèse), Saint-Martin Pauline (Président du jury de soutenance), Étienne-Toquet Claire (Membre du jury), Piriou Nicolas (Membre du jury)
Collectivités auteurs : Université de Nantes 1962-2021 (Organisme de soutenance), Nantes Université Pôle Santé UFR Médecine et Techniques Médicales Nantes (Organisme de soutenance)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Évaluation des pratiques médico-légales et place de la génétique dans le cadre des morts subites du sujet jeune / Émeline Salmon; sous la direction de Renaud Clément
Publié : 2020
Description matérielle : 1 vol. [67 p.]
Note de thèse : Thèse d'exercice : Médecine. Médecine légale et expertises médicales : Nantes : 2020
Sujets :
Documents associés : Reproduit comme: Évaluation des pratiques médico-légales et place de la génétique dans le cadre des morts subites du sujet jeune
Description
Résumé : La prise en charge optimale des morts subites de sujets jeunes constitue un enjeu important pour les professionnels et les familles. Nous avons étudié les pratiques médico-légales en France concernant ces décès via deux questionnaires et la revue rétrospective des cas traités à Nantes. Nos résultats mettent en évidence une disparité des pratiques. Moins de 10% des centres réalisent une prise en charge satisfaisant les recommandations européennes. L'obstacle principal est le cadre médico-légal, peu adapté à la réalisation d'examens complémentaires à la recherche d'une origine naturelle au décès. De ce fait, le conseil génétique reste trop peu effectué malgré les preuves de son intérêt individuel et de santé publique. Une harmonisation des pratiques initiée par les médecins légistes semble donc nécessaire.
Notes : Autre(s) contribution(s) : Pauline Saint-Martin (Président du jury) ; Claire Toquet, Nicolas Piriou (Membre(s) du jury)
Bibliographie : Bibliogr. p. 44-46, 36 réf.