Place de la kétamine dans le traitement de la dépression résistante et/ou sévère : une série de cas au CHU de Nantes

La kétamine est un traitement novateur dans la prise en charge des dépression résistantes et/ou sévères. Ce travail détaille les hypothèses relatives au mode d'action de la kétamine puis présente les différentes formes de traitement par kétamine, la tolérance et les interactions possibles avec...

Description complète

Détails bibliographiques
Auteurs principaux : Guiné Jean-Baptiste (Auteur), Bukowski Nicolas (Directeur de thèse), Sauvaget-Oiry Anne (Président du jury de soutenance), Gohier Bénédicte (Membre du jury), Tirel Marine (Membre du jury), Samalin Ludovic (Membre du jury)
Collectivités auteurs : Université de Nantes 1962-2021 (Organisme de soutenance), Nantes Université Pôle Santé UFR Médecine et Techniques Médicales Nantes (Organisme de soutenance)
Format : Thèse ou mémoire
Langue : français
Titre complet : Place de la kétamine dans le traitement de la dépression résistante et/ou sévère : une série de cas au CHU de Nantes / Jean-Baptiste Guiné; sous la direction de Nicolas Bukowski
Publié : 2021
Description matérielle : 1 vol. (91 f.)
Note de thèse : Thèse d'exercice : Médecine. Psychiatrie : Nantes : 2021
Sujets :
Documents associés : Reproduit comme: Place de la kétamine dans le traitement de la dépression résistante et/ou sévère
Description
Résumé : La kétamine est un traitement novateur dans la prise en charge des dépression résistantes et/ou sévères. Ce travail détaille les hypothèses relatives au mode d'action de la kétamine puis présente les différentes formes de traitement par kétamine, la tolérance et les interactions possibles avec cette molécule. La kétamine semble être une des options thérapeutiques la plus efficace dans le traitement de la dépression mais des études supplémentaires sont nécessaires pour affirmer sa supériorité sur les autres traitements. Sur la population traitée au CHU de Nantes, la kétamine intraveineuse avait un taux de réponse de 50 % et un taux de rémission de 50 %, l'eskétamine intranasale avait un taux de réponse de 41,6 % et un taux de rémission de 33,3 %. Pour les deux traitements, les taux de rechute étaient élevés parmi les patients répondeurs : 80 % dans le groupe kétamine et 60 % dans le groupe eskétamine.
Notes : Autre(s) contribution(s) : Anne Sauvaget (Président du jury) ; Bénédicte Gohier, Marine Tirel, Ludovic Samalin (Membre(s) du jury)
Bibliographie : Bibliogr. f. 78-91, 186 réf.