Évaluation de l'échelle fonctionnelle post COVID-19 (EFPC) comme outil de dépistage de séquelles des patients avec une pneumopathie COVID-19 hypoxémiante
Il est maintenant clair que l'infection COVID-19 peut être responsable de symptômes persistants plusieurs mois après l'épisode aigu. En raison du nombre important de patients hospitalisés pour pneumopathie hypoxémiante COVID-19, il est primordial de pouvoir aisément identifier ceux avec un...
Enregistré dans:
Auteurs principaux : | , , , , , , |
---|---|
Collectivités auteurs : | , |
Format : | Thèse ou mémoire |
Langue : | français anglais |
Titre complet : | Évaluation de l'échelle fonctionnelle post COVID-19 (EFPC) comme outil de dépistage de séquelles des patients avec une pneumopathie COVID-19 hypoxémiante / Naïla Benkalfate; sous la direction de Emmanuel Eschapasse et Patricia Lemarchand |
Publié : |
2021 |
Description matérielle : | 1 vol. (76 f.) |
Note de thèse : | Thèse d'exercice : Médecine. Pneumologie : Nantes : 2021 |
Contenu : | La thèse contient 1 article f. 24 |
Sujets : | |
Documents associés : | Reproduit comme:
Évaluation de l'échelle fonctionnelle post COVID-19 (EFPC) comme outil de dépistage de séquelles des patients avec une pneumopathie COVID-19 hypoxémiante |
Résumé : | Il est maintenant clair que l'infection COVID-19 peut être responsable de symptômes persistants plusieurs mois après l'épisode aigu. En raison du nombre important de patients hospitalisés pour pneumopathie hypoxémiante COVID-19, il est primordial de pouvoir aisément identifier ceux avec un retentissement fonctionnel qui pourrait justifier d'une prise en charge spécialisée. Klok et al ont développé en 2020 une échelle fonctionnelle post COVID-19 qui s'intéresse aux limitations fonctionnelles en lien avec des symptômes persistants. Nous avons évalué cette échelle dans une étude prospective monocentrique sur 121 patients, deux à neuf mois après leur hospitalisation pour une pneumopathie COVID-19 hypoxémiante. Cette dernière corrèle avec plusieurs échelles de dyspnée, de qualité de vie et d'évaluation psychiatrique mais pas avec l'atteinte scanographique et les troubles de diffusion résiduels. |
---|---|
Notes : | Autre(s) contribution(s) : François-Xavier Blanc (Président du jury) ; David Boutoille, Stéphanie Dirou, Amélie Seguin (Membre(s) du jury) |
Bibliographie : | Bibliogr. f. 63-68, 87 réf. |