DIU et multiparité : étude des pratiques auprès des femmes et des professionnels de santé
Contexte et Objectifs : La contraception par DIU chez les nullipares a obtenu l'AMM en 2004. Depuis, le paysage contraceptif et les pratiques ont évolué. L'objectif de l'étude était d'observer les freins à la contraception par DIU chez les nullipares, que ce soit au niveau des cr...
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Collectivités auteurs : | , , |
Format : | Thèse ou mémoire |
Langue : | français |
Titre complet : | DIU et multiparité : étude des pratiques auprès des femmes et des professionnels de santé / Laurie Baertschi; sous la direction de Tiphaine Lefebvre |
Publié : |
Nantes :
Université de Nantes
, 2022 |
Accès en ligne : |
Accès Nantes Université
|
Reproduction de : | Reproduction numérique de l'original imprimé datant de 2021 |
Note de thèse : | Reproduction de : Mémoire de sage-femme : Médecine : Nantes : 2021 |
Sujets : | |
Documents associés : | Reproduction de:
DIU et multiparité |
Résumé : | Contexte et Objectifs : La contraception par DIU chez les nullipares a obtenu l'AMM en 2004. Depuis, le paysage contraceptif et les pratiques ont évolué. L'objectif de l'étude était d'observer les freins à la contraception par DIU chez les nullipares, que ce soit au niveau des croyances des femmes ou des pratiques des professionnels. Matériels et Méthode : Un questionnaire a été diffusé aux femmes via les réseaux sociaux, un autre aux médecins généralistes, sages-femmes et gynécologues, par mail. Résultats : 1673 femmes ont répondu au questionnaire, 7,4% d'entre elles pensaient que la contraception par DIU chez les nullipares n'est pas possible, ce qui témoigne d'une amélioration de l'information, bien loin des 54% de l'étude FECOND réalisée en 2010. La satisfaction des nullipares utilisant les DIU et SIU était importante, ces dernières étant désormais rarement confrontées à des refus de pose et de prescription. Parmi les 231 praticiens interrogés, 68,4% d'entre eux posaient des DIU, dont la quasi-totalité le proposaient également aux nullipares. Parmi les professionnels qui ne posent pas de DIU, la moitié ne se sentait pas assez formée. Conclusion : Les croyances et réticences concernant la contraception par DIU chez les nullipares ont fortement diminué ces dernières années mais l'information n'est pas optimale et les professionnels ne s'estiment pas assez formés. |
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Notes : | Description d'après la consultation, 2022-02-17 Titre provenant de l'écran-titre L'impression du document génère 50 p. |
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Bibliographie : | Bibliogr. 42 réf. |