Évaluation de la prévention du VIH chez les patients de plus de 50 ans par les médecins généralistes de Loire-Atlantique
Introduction. Le dépistage du VIH reste le maillon faible de la prise en charge de cette maladie, et ce d'autant plus chez les patients de plus de 50 ans en France et en Loire-Atlantique. Matériel et méthode. 14 entretiens semi-dirigés auprès de médecins généralistes de Loire-Atlantique. Résult...
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Collectivités auteurs : | , |
Format : | Thèse ou mémoire |
Langue : | français |
Titre complet : | Évaluation de la prévention du VIH chez les patients de plus de 50 ans par les médecins généralistes de Loire-Atlantique / Mélanie Steuer; sous la direction de Patrick Blanco |
Publié : |
2022 |
Description matérielle : | 1 vol. (47 f.) |
Note de thèse : | Thèse d'exercice : Médecine. Médecine générale : Nantes : 2022 |
Sujets : | |
Documents associés : | Reproduit comme:
Évaluation de la prévention du VIH chez les patients de plus de 50 ans par les médecins généralistes de Loire-Atlantique |
Résumé : | Introduction. Le dépistage du VIH reste le maillon faible de la prise en charge de cette maladie, et ce d'autant plus chez les patients de plus de 50 ans en France et en Loire-Atlantique. Matériel et méthode. 14 entretiens semi-dirigés auprès de médecins généralistes de Loire-Atlantique. Résultats. Dépistage du VIH dans certaines situations (changement de vie, HSH, à la demande du patient). Moindre prévention chez les plus de 50 ans (moindre perception du risque, manque de formation, fausses croyances). Difficultés d'abord de sexualité (abord par le patient ou point d'appel). Facilités d'abord avec les moins de 50 ans et d'établissement d'un lien entre sexualité et VIH. Connaissances des principaux moyens de prévention (préservatif, sérologie). Moindre connaissance ou confusion des nouveaux moyens (PrEP, TPE, TasP). Conclusion. Il existe un sous-dépistage du VIH chez les patients de plus de 50 ans en médecine générale, notamment du fait de fausses croyances, de manque de formation et de difficultés d'abord de la sexualité. Il est nécessaire d'inclure aux mesures de prévention du VIH cette catégorie de la population, qui du fait d'un moindre repérage est moins traitée. D'autant que la PrEP est désormais prescriptible par les médecins généralistes. Il serait intéressant d'intégrer le dépistage et la prévention sexuelle dans des consultations dédiées. |
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Notes : | Autre(s) contribution(s) : François Raffi (Président du jury) |
Bibliographie : | Bibliogr. f. 42-46, 59 réf. |